Gfi, la société qui a racheté Iecisa, devient Inetum
Gfi, la société qui a racheté Iecisa, devient Inetum
Gfi abandonne sa dénomination et adopte une nouvelle identité
Le Groupe Gfi annonce son nouveau nom et devient Inetum, Positive Digital Flow.
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Cette nouvelle identité est l'aboutissement d'une stratégie de croissance continue que son PDG Vincent Rouaix mène depuis 10 ans, par croissance organique et acquisitions successives, dans le but d'élargir le portefeuille de solutions du Groupe et de le déployer à l'international. Sa dernière acquisition, celle d'IECISA en avril dernier, a permis au Groupe de réaliser un chiffre d'affaires de 2 300 millions d'euros (pro forma) et d'atteindre près de 27 000 collaborateurs dans le monde. Le Groupe est désormais présent dans 26 pays, en Europe, en Amérique latine, aux États-Unis, en Afrique et en Asie du Sud-Est. Le nouveau nom est présenté aujourd'hui et sera décliné dans toutes les filiales du Groupe.
Sa dernière acquisition, celle d'IECISA en avril dernier, a permis au Groupe de réaliser un chiffre d'affaires de 2 300 millions d'euros et de toucher près de 27 000 collaborateurs dans le monde.
Une nouvelle image pour représenter ce qu'est devenu le groupe. Selon l'entreprise, « un nom qui affirme son esprit de conquête ambitieux et entrepreneurial. Un nom qui trouve ses racines dans le mot latin 'incrementum', croissance. Avec une expression graphique qui représente la combinaison de talents qui forment une seule entité, et qui se termine par une flèche 'pixelisée' pour symboliser la croissance du Groupe, pointant vers l'avenir".
A l'occasion de la première de cette nouvelle identité, Vincent Rouaix déclare : « Assumer un nouveau nom est bien plus qu'un exploit, c'est un nouveau chapitre pour un groupe qui s'est radicalement transformé au cours des 10 dernières années. Elle nous permettra de nous affirmer comme un leader paneuropéen et une référence sur le marché, d'accélérer notre croissance dans le monde grâce à notre positionnement d'experts du courant numérique, et de maximiser notre capacité à attirer des professionnels de talent, qui est l'un des piliers de notre succès. En devenant Inetum, le groupe exprime son ambition de devenir un moteur d'innovation et de co-succès pour nos clients ».
Le groupe Gfi s'est développé "en tant que pionnier historique du secteur, conservant la culture audacieuse et entrepreneuriale de ses débuts. Gfi a grandi avec les mutations sociales, économiques et technologiques, et s'apprête aujourd'hui à écrire un nouveau chapitre de son histoire", indique une déclaration de l'entreprise.
Le nouveau nom lui permettra de mieux intégrer l'expérience d'un groupe qui a développé et diversifié son offre de solutions et sa présence mondiale, tout en répondant aux nouveaux enjeux de ses clients et de la société. Pour Inetum, sa mission est de faire de ce nouveau monde numérique un monde de réussite et d'engagement.
Une mission qui repose sur une triple approche de proximité-proximité, automatisation-industrialisation-numérisation et solutions-innovation.
Solutions
Pour Inetum, cette nouvelle identité est aussi l'occasion de mettre en avant son offre de solutions pour faire face aux enjeux de ses clients. Il souligne une force qui réside « dans sa capacité à relever ces défis dans tous les secteurs, avec le bon dosage d'expérience pour les besoins spécifiques de chaque client ».
- Omnicommerce : dans un secteur en crise, les confinements ont encore accéléré les changements de comportement des consommateurs, tout en fragilisant ceux qui ont pris du retard dans leur transformation ; nous concevons des innovations agiles pour permettre à nos clients de mieux répondre aux attentes des consommateurs et de se transformer rapidement, en révisant leur modèle de vente au détail, en permettant une plus grande personnalisation, en créant de nouvelles expériences pour les consommateurs, etc.
- Industrie 4.0 : la souveraineté industrielle, la localisation de la production et la limitation de l'impact sur le climat sont des enjeux clés de la politique économique de la France et de l'Europe ; L'industrie 4.0 doit permettre aux industriels de mieux répondre aux besoins des consommateurs tout en produisant plus vite et en limitant leur empreinte environnementale, apportant la clé du renouveau industriel que la société espère.
- Cybersécurité : Avec des usages de plus en plus numérisés, un télétravail en plein développement et une bataille économique qui s'intensifie, les organisations sont de plus en plus vulnérables aux attaques ; Le renforcement de leur protection ne peut fonctionner que si toutes les parties prenantes sont conscientes de ces enjeux vitaux.
- Smart Cities : la crise sanitaire a accéléré la transformation en milieu urbain comme en milieu rural ; Si la gestion des données est la clé d'un changement réussi qui guide et adapte les villes en anticipant les usages de leurs habitants, alors la clé réside dans la capacité des organisations à produire, analyser et comprendre ces données.
- Banque et assurance numériques : le confinement réduisant l'accès aux agences bancaires, la numérisation a fait un bond en quelques mois, poussant les acteurs du secteur à rattraper un carnet de commandes en pleine croissance ; Alors que les fintechs ont créé de nouveaux usages à la vitesse de l'éclair, l'enjeu pour les autres est de prendre les devants en innovant et en inventant sans cesse les voies du futur.